Le lancement du satellite marocain Mohammed VI du Centre Spatial Français en Guyane, l'un des territoires français d'outre-mer, qui surplombe la côte nord américaine, a eu lieu mercredi vers 1 heure du matin et 43 minutes GMT. Sud.
L'événement était strictement confidentiel, car il n'a pas été officiellement discuté par le gouvernement marocain. Un autre satellite devrait être lancé l'an prochain, qui portera le nom de "Mohammed VI B" et aidera le Maroc à surveiller le territoire national.
Plusieurs Marocains ont regardé l'événement avec beaucoup d'intérêt, soit via Facebook, en échangeant les images du satellite marocain, soit en suivant la retransmission en direct du lancement de la société "Ariane Spice" sur le site "YouTube" du Centre Guyana .
e satellite a été développé pour surveiller le territoire national et a été fabriqué par Lles sociétés françaises Thales Eleania Spice et Airbus Defence and Spice. Il sera principalement utilisé pour la cartographie et la planification terrestre, le suivi des activités agricoles, la prévention et la gestion des catastrophes naturelles, le suivi des développements environnementaux et la désertification, ainsi que la surveillance des frontières et des fonds marins
Israël était Stefan, directeur général de la « Ariane Spice », en charge du lancement du satellite de fusée, a annoncé lundi dernier, la fin des préparatifs pour le lancement des procédures spécifiées date après toutes les épreuves et les dernières touches.
Et en lançant deux satellites, le Maroc sera la troisième force africaine dans le domaine de la technologie spatiale, après l'Egypte et l'Afrique du Sud, où il sera le royaume peut passer à travers la réception il y a dans la station Salé, des images précises de la poussière nationale qui contribuera à l'observation et l'analyse.
Le Maroc a lancé son premier satellite le 10 décembre 2001 sous le nom de "Blue Yamama", porté par un missile russe depuis une base située au Kazakhstan. L'acquisition par le Maroc de ces deux nouveaux satellites dans le cadre du renforcement de son arsenal de sécurité, dans le cadre d'un accord avec la France en 2013, d'une valeur d'environ 500 millions d'euros.